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Douce France | Thomas

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Tristan D Martel

Tristan D Martel


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Re: Douce France | Thomas


Rencontre harsadeuse.

Tristan attendit quelques secondes que tu le rejoignes alors qu'il avait son regard posé dans la direction que la jeune femme venait de lui indiquer. Il savait parfaitement où cette ruelle donnée et ce n'était pas l'endroit le plus facile de Toulon, au contraire. Encore dans les petites ruelles vous aviez presque l'avantage, car lui connaissait la ville par cœur ce qui n'été peu être pas le cas de ton voleur, mais dans les grandes rues il y avait beaucoup plus de gens et de circulation ce qui n'aidait pas du tout, loin de là. Mais il n'allait pas lâcher l'affaire aussi facilement, car il était quelqu'un d'assez tétu il fallait l'avouer. Quand tu arrivais à sa hauteur il prit le chemin de la ruelle, un peu d'ombre ne faisait pas de mal, car même pour lui qui était natif de la ville c'était une journée assez chaude, très chaude même. Ca plus l'adrénaline c'était obligé que vous ayez chaud.

Une fois arrivé au Carrefour il se concentra pour essayer de voir votre voleur, car à la vitesse où vous alliez il n'avait pas eu le temps d'aller trop loin ça c'était sûr. C'était la première fois qu'il faisait autant de sport en si peu de temps, bien sûr il courait souvent quand il était à l'hôpital, mais ce n'était pas pareil. Tu le vis avant lui et alors qu'il continuait à faire le tour du Carrefour du regard il fut stoppé quand tu pris sa main dans les siennes, il reportait son attention sur toi alors qu'il eut quelques secondes où il ne sut plus.

-Euh..

Le contact de ta peau contre la sienne, même si ce n'était pas la première fois mais c'était dans d'autres circonstances plus ton regard le déstabilisé énormément, mais ce n'était pas le moment de penser à ça. Il y avait plus urgent. Quand tu repris la parole il revenait sur terre.

-Je sais.

Dit-il simplement, ce n'était pas l'endroit le plus simple pour aller à la plage, mais il se souvenait justement d'un chemin qu'il prenait souvent pour y aller et éviter de galérer. Si vous gérez bien vous y serez même avant le voleur. Il prit ta main pour prendre la directement dans laquelle vous deviez aller. Il y avait tout de même du monde et il ne voulait pas te perdre. Reprenant sa course vous passiez dans les rues de la ville. A première vue ce n'était pas le chemin, mais dans un Boulevard il tourna sur la droite pour aller dans une petite ruelle et au bout de quelques minutes, cinq tout au plus vous arriviez au niveau de la plage. Il se stoppa alors en tournant son regard vers toi.

-Normalement lui arriva pas trop loin d'ici. Mais avec le monde ça n'aide pas.

Dit-il en regardant autour de lui, il espérait vraiment pour toi que vous alliez le retrouver, il avait bien comprit que c'était important pour toi..
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Re: Douce France | Thomas




Douce France


Douce France | Thomas - Page 2 Rp10


Dans un élan, Tristan se dirige dans une direction totalement incongrue et nous nous faufilons à travers la foule. Sa main tiède toujours dans la mienne, je la tenais fermement et restait derrière lui. Certaines personnes nous dévisageaient mais je n'avais pas le temps d'y prêter attention tellement nous allions vite. Nous bifurquons ensuite dans une petite ruelle au bout de laquelle on pouvait apercevoir le bleu de la mer. Ça y est ! Je peux voir la plage. Après avoir traversé cette ruelle et en sautant par dessus quelques obstacles, nous atteignons la plage en question, où les plaisanciers profitent du soleil et de la douce chaleur de Toulon. Tristan m'informe que le voleur devrait arriver non loin d'ici.

"Yes ! On est arrivé à la plage." dis-je légèrement essoufflé.

Je tourne sur moi même pour essayer de voir par où notre malfaiteur pourrait débarquer. À cause du soleil, je plisse les yeux pour tenter de voir si j'arrive à apercevoir une silhouette vêtue de noir. Dans la foule j'aperçois l'homme en question. Je demande à Tristan :

"Tristan, appelle la police. Je tiens notre homme."

Alors que je n'ai même pas fait attention si Tristan a entendu ce que j'ai dit, je m'élance de nouveau à la poursuite de l'homme en noir qui est de dos. Il ne m'a pas vu. C'est ma chance. Je plaque le voleur à terre et l'immobilise de tout mon poids. Voulant voir l'identité du malfrat, j'entends une voix féminine qui me demande de la libérer. J'enlève la capuche de la personne que je bloque avec mon poids, et découvre un visage féminin. Des cheveux roux et des yeux d'un bleu azur. Notre voleur était en fait une voleuse. Je lui ordonne :

"Rends-moi le téléphone que tu m'as volé. N'essaie pas de faire l'innocente, je sais que tu l'as."

La foule s'est arrêtée autour de nous et certains sortent leur smartphone pour nous prendre en photo ou en vidéo. Elle m'indique la poche dans laquelle elle l'a caché, je la fouille et récupère mon précieux. Ouf ! Je suis soulagé, j'espère que les données sont intactes. Alors que je range mon téléphone, j'entends la police arriver dans mon dos et me prendre le bras d'une manière peu délicate. J'imagine qu'ils veulent m'interroger et savoir pourquoi j'ai plaqué au sol une demoiselle qui est elle aussi encadrée par deux policiers. Son regard me fixe avec rage et je peux deviner que j'ai dû ruiner sa mission. Mais un sourire se dresse au coin de sa bouche, laissant sous-entendre qu'elle n'a pas fait tout ça en vain. Qui sait ce qu'elle a découvert et ce qu'elle a trafiqué sur mon téléphone. Travaille-t-elle pour LabSeven ? Pourquoi avoir volé le mien ? En tout cas, je vais devoir le faire analyser afin de tirer toute cette histoire au clair. Étant toujours entre les mains de la police, je regarde Tristan lui demandant s'il peut désenvenimer la situation.



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Re: Douce France | Thomas


Rencontre harsadeuse.

Les Français avaient une capacité de fixer tout ce qu'ils ne comprenaient pas. Alors, deux hommes qui couraient comme cela main dans la main ce n'était pas normal pour la plupart des gens alors oui. Ils regardaient bizarrement. Mais ça Tristan déjà n'avait pas vraiment le temps de la voire à l'allure où vous alliez et puis il s'en foutait. Il s'y était fait depuis le temps. Ca avait toujours était comme ça. Vous passiez à travers la foule qui parfois râlé un peu, mais, vous laissiez tout de même passer. Après quelques minutes vous arriviez à la plage. Il posait son regard sur celle-ci où il y avait tout de même pas mal de monde. C'était toujours le cas de toute façon. Lui venait peu souvent, ou il connaissait les moments et les endroits où il fallait venir. Il tournait son regard vers toi avant de regarder tout autour de lui afin de voir ton voleur.

-On vas le trouver.

Dit-il alors en tournant son regard vers toi avec un sourire au coin des lèvres quand tu fis la remarque que vous étiez à la plage. Tu étais trop mignon. Ce n'était pas le moment, mais il ne pouvait s'empêcher de le penser, car c'était beaucoup trop flagrant. En tout cas pour lui. Il fut sorti de ses pensées quand tu pris la parole. Il hocha la tête, mais tu ne le vis pas car tu étais déjà parti. Il prit son propre portable en appelant la police pour les prévenir de ce qui se passait. Il leur donna l'adresse où vous étiez et ils répondirent qu'il appeler une voiture pour qu'elle vienne. Et quand il put raccroché il venait vers vous. Il était concentré sur l'appel qu'il ne t'avait pas vu l'arrêter et pouvoir la maîtriser. Alors, il se rapprocher de vous, il fut surpris de voir que c'était une femme, c'était tout de même rare. Il n'eut pas le temps d'ouvrir la bouche que les flics arrivaient déjà. Ils furent assez violents pour te faire te relever. Les policiers de France avaient tendance à être assez violent pour dire vrai. Tristan ne les aimait pas franchement. Il eut un moment de battement où il ne comprenait pas ce qu'il se passait. Et quand tu lui demandas de t'aider. Il se rapprocha des policiers en leur expliquant ce qui c'était passé et qu'il était témoin de la scène, que ce n'était pas de ta faute, mais celle de la fille qui t'avait voler ton téléphone. Simplement les flics avaient besoin d'une déposition pour pouvoir faire ce qu'il fallait de leur côté. Ils vous expliquent qu'ils allaient vous emmener chacun dans une voiture, ils étaient tout de même arriver à trois voitures, c'était assez impressionnant. Et c'était aussi l'attraction de la journée. Tristan hocha la tête alors qu'il tournait son regard vers toi.

-On se rejoint là-bas.

Dit-il avec un léger sourire au coin des lèvres à cet instant, il voulait être assez rassurant. Mais lui ne comprenait pas non plus trop ce qui se passait. Les flics vous embarquez rapidement pour vous emmener au commissariat.
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Re: Douce France | Thomas




Douce France


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C'est un peu la boule au ventre que j'entre dans la voiture de police, comme on voit dans les films lorsque l'on se fait arrêter. J'étais assis dans le siège du milieu de la banquette arrière, entre deux policiers bien costauds. L'odeur de cigarette dans la voiture et les miettes de chips ne me mettent pas dans le plus grand des conforts, mais je tente de faire abstraction et de me faire petit. Le voyage ne dure pas très longtemps et j'arrive au commissariat de police, où un agent prend ma déposition. Je lui explique ce qui m'est arrivé et que de nombreuses personnes ont été témoins sur le parvis de l'église. De plus Tristan pouvait également confirmer mes dires. Je ne savais pas combien de temps j'allais devoir rester en face de cet officier de police qui me regardait comme si j'étais un criminel. Je me demande bien ce que la jeune femme a pu dire de son côté, j'espère qu'elle n'a pas trouvé des preuves compromettantes à mon sujet et sur mon enquête sur LabSeven.

En attendant que la procédure se termine, je feuillette des magazines posés sur le côté. Un officier me propose un verre d'eau que j'accepte volontiers. Avec la chaleur, j'apprécie d'avoir un petit moment de repos et bois à grande gorgée. Il n'y a malheureusement pas de climatisation dans ce commissariat et les ventilateurs tournent à fond, brassant de l'air et les piles de documents qui seront sûrement traités dans quelques mois.

Après plusieurs heures et le temps que toute la situation soit tirée au clair, l'agent m'informe que je suis libre. Ouf! Un soulagement ! La jeune femme n'a peut-être rien trouvé sur mon téléphone et n'a rien dit à la police. Ou du moins c'est ce que j'espère. Je me lève de ma chaise, remercie le personnel qui s'est occupé de moi et rejoins le hall d'entrée où Tristan m'attend. Je ne pensais pas qu'il allait patienter jusqu'à la fin de la procédure, c'est quand même rare de vouloir aider un inconnu tant que ça, mais cela me fait extrêmement plaisir de le voir et j'esquisse un sourire. Il est si beau avec ses yeux bleus et son sourire d'ange. Je m'approche de lui et l'enlace dans mes bras, posant ma tête au creux de son cou. Je sens son corps contre le mien, les pulsations de son coeur et un apaisement m'emplit. Je peux sentir une odeur de cigarette dans le col de son haut, signe qu'il a dû se griller pas mal de clopes le temps que je sorte de ce pétrin. Je lui dis :

"Merci Tristan. Sans toi je n'aurais jamais pu m'en sortir."


Je profite de cet instant. Le temps semble s'être arrêté et nos deux corps enlacés se tiennent devant le hall d'entrée où les officiers de police font des va-et-vient en nous regardant du coin de l'oeil. Qu'importe. Je suis dans les bras d'un parfait gentleman.



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Re: Douce France | Thomas


Rencontre harsadeuse.

Tristan avait déjà eu affaire à la police. Mais simplement dans le cadre de ses fonctions. Quand il y avait des personnes saoules ou des histoires de plaies par balle, ils étaient obligés d'appeler le commissariat pour qu'ils viennent. Mais il n'avait jamais été dans cette situation. Une fois dans la voiture ils prirent la direction du commissariat. C'était assez impressionnant de se retrouver entre deux flics comme cela il n'était pas forcément à son aise. Ne regardant par le pare-brise en face de lui il savait qu'ils n'allaient pas en avoir pour longtemps de trajet connaissant la ville par cœur. Et se fut le cas, au bout de quelques minutes ils se garaient devant l'établissement. Une fois sorti de la voiture il fut emmené dans un bureau qui sentait le renfermé. Il détestait les commissariats. Mais il devait le faire s'il ne voulait pas que tu ais de problèmes. Et aussi bizarre que cela puisses paraître, car dans le fond vous ne vous connaissiez pas vraiment, il n'avait pas envie que tu ais des problèmes. Alors, il expliqua en détail au policier qui lui prenait sa déposition ce qui avait pu se passer en expliquant bien que ce n'était pas de ta faute, mais celle de la fille qui t'avais clairement arraché le téléphone des mains. Pour lui ça ne dura pas très longtemps, le policier était plutôt sympa et moins d'une heure plus tard il avait pu partir.
Il s'installa dans le hall du commissariat afin de t'attendre. Car il avait demander où ça en était avec toi, on lui avait répondu assez vaguement mais il savait qu'ils n'avaient pas fini. Alors, il faisait des allers-retours entre dehors et dedans fumant clope sur clope. Ca commençait à être assez long il devait l'avouer. Qu'est-ce qu'ils te voulaient sérieusement ? Il avait bu aussi plusieurs cafés en essayant d'avoir des informations, mais personne voulait lui dire ce qu'il se passait. Il venait de rentrer dans le bâtiment quand tu venais dans le hall. Il eu un sourire aux lèvres en te voyant. Il devait avouer qu'il était soulagé. Et surpris quand tu le pris dans tes bras mais d'une manière agréable. Refermant ses bras autour de ton corps il te serrais contre lui à cet instant. Lui qui n'était pas vraiment tactile de base se découvrait l'être avec toi ce qui était assez déstabilisant. Tu le déstabilisé clairement. Il laissa son visage contre le dos du tien en ayant un léger rire.

-Je t'ai surtout apporté des ennuis un peu.

Si tu ne l'avais pas suivis il ne te serait pas arriver tout cela clairement. Il te gardé contre lui un long moment, c'était juste agréable clairement et il n'avait pas envie que ce moment se termine car il ne voulait pas que tu repartes. C'était quelque peu égoïste il le savait. Après quelques minutes de silence. Il finissait par dire assez bas.

-Je te paie un repas pour me faire pardonner ?

Il commençait à se faire assez tard avec tout cela et c'était aussi une bonne excuse pour passer plus de temps avec toi.
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